dimanche 30 décembre 2012

Christophe Kantcheff

Silences qui peuvent être des autocensures ou des silences de protection…



Sidy Sakho

Il y a des critiques plus installés que d’autres, qui parfois s’abstiennent de parler de leurs confrères parce qu’ils n’y gagneraient pas. Je pense que c’est plus facile pour Raphaël ou Thomas de désigner ce qui ne correspond pas à leurs attentes parce que, précisément, eux n’ont pas grand chose à perdre ! Lorsque la critique n’est pas son vrai métier, qu’on n’a pas de réel statut officiel, on peut faire montre, lorsque la parole nous est publiquement donnée, d'une décomplexion assez jouissive d’ailleurs pour le lecteur. Christophe, toi justement qui a officié aux Cahiers, tu peux avoir ton mot à dire sur ce point...



Christophe Beney

Concernant les Cahiers ? Parce que je parle sous le contrôle d’Emmanuel Burdeau qui a été mon rédacteur en chef à l’époque, c’était une époque absolument formidable de ma vie et tout s’est passé impeccablement bien ! (rires)